
Sous les bourrasques de vent et de fine pluie, nous descendons vers Seal bay après avoir visité le petit musée qui raconte l’histoire des otaries de leur quasi disparition après l’exploitation de leur peau et graisse à la création d’un parc marin pour les protéger en passant par la pollution par les micro-plastiques qui les menaçent. Un squelette complet d’otarie permet de découvrir que leurs pattes avant et arrière sont constitués de main à 5 doigts et 3 phalanges, comparable à celui de l’homme.
Un lion de mer dort à l’extrémité de la plage à peine visible tant sa couleur se fond dans le paysage. Quelques otaries sortent de l’eau et remontent péniblement la plage après plusieurs jours passés en mer pour chasser.

Une d’elle nous fait le plaisir de passer juste sous le petit pont de bois où nous sommes.

Après cette rencontre inoubliable, nous allons à Vivonne bay pour prendre un bon bol de vent marin et jouer dans la dune.
